Consulter la méthodologie
Les notions d'étude définies par l'Éducation nationale : le programme
1. Mythes et héros
Le mythe évoque la condition humaine dans son ensemble, son histoire transmise d'abord oralement et souvent incarnée par un héros, un lieu ou une communauté. Interroger les mythes, c'est s'intéresser aux héros et aux récits qui fondent une identité collective. Le caractère universel du mythe permet de mettre en évidence la façon particulière dont chaque aire culturelle interprète l'expérience humaine et construit des œuvres pour l'exprimer. Chaque époque emprunte et réactualise certains mythes ou en crée de nouveaux. Le héros peut être un personnage fictif ou réel qui a marqué la tradition, l'histoire, la vie quotidienne. La culture populaire et la contre-culture ne cessent de produire leurs propres héros (folklore, bandes dessinées, etc.).
Le mythe évoque la condition humaine dans son ensemble, son histoire transmise d'abord oralement et souvent incarnée par un héros, un lieu ou une communauté. Interroger les mythes, c'est s'intéresser aux héros et aux récits qui fondent une identité collective. Le caractère universel du mythe permet de mettre en évidence la façon particulière dont chaque aire culturelle interprète l'expérience humaine et construit des œuvres pour l'exprimer. Chaque époque emprunte et réactualise certains mythes ou en crée de nouveaux. Le héros peut être un personnage fictif ou réel qui a marqué la tradition, l'histoire, la vie quotidienne. La culture populaire et la contre-culture ne cessent de produire leurs propres héros (folklore, bandes dessinées, etc.).
2. Espaces et échanges
Une société peut être abordée du double point de vue de sa cohésion et de son ouverture, ce qui amène à s'interroger sur son inscription dans le monde. La géographie des circuits commerciaux et des réseaux d'influence, mais aussi les découvertes et la conquête de terres nouvelles constituent des aires culturelles qui dépassent souvent les frontières des États. La frontière comme limite entre deux espaces sera vue tantôt comme protection contre l'autre ou au contraire ouverture et appel vers un espace plus grand. L'espace peut évoluer et prendre des contours variés : réappropriation des espaces symboliques, perte des repères dans les villes mondes, invention de nouveaux modèles d'échanges, constitution de grands ensembles régionaux, espaces réels, espaces virtuels. On constate aujourd'hui qu'en dépit d'une grande inégalité au niveau des développements, le monde n'a jamais été aussi intégré, tant les liens de toute nature entre peuples et pays sont devenus étroits. Les échanges de toutes sortes, les « emprunts » de langue à langue, de culture à culture en littérature, dans les arts, les sciences, les techniques, la philosophie, la religion, les institutions politiques et sociales et plus généralement dans les usages quotidiens, ont pris une nouvelle ampleur dans l'unification des espaces et des peuples, des langues et visions du monde. Chaque société est ainsi travaillée par des conflits entre particulier et universel, que recoupent souvent des oppositions entre tradition et modernité.
Une société peut être abordée du double point de vue de sa cohésion et de son ouverture, ce qui amène à s'interroger sur son inscription dans le monde. La géographie des circuits commerciaux et des réseaux d'influence, mais aussi les découvertes et la conquête de terres nouvelles constituent des aires culturelles qui dépassent souvent les frontières des États. La frontière comme limite entre deux espaces sera vue tantôt comme protection contre l'autre ou au contraire ouverture et appel vers un espace plus grand. L'espace peut évoluer et prendre des contours variés : réappropriation des espaces symboliques, perte des repères dans les villes mondes, invention de nouveaux modèles d'échanges, constitution de grands ensembles régionaux, espaces réels, espaces virtuels. On constate aujourd'hui qu'en dépit d'une grande inégalité au niveau des développements, le monde n'a jamais été aussi intégré, tant les liens de toute nature entre peuples et pays sont devenus étroits. Les échanges de toutes sortes, les « emprunts » de langue à langue, de culture à culture en littérature, dans les arts, les sciences, les techniques, la philosophie, la religion, les institutions politiques et sociales et plus généralement dans les usages quotidiens, ont pris une nouvelle ampleur dans l'unification des espaces et des peuples, des langues et visions du monde. Chaque société est ainsi travaillée par des conflits entre particulier et universel, que recoupent souvent des oppositions entre tradition et modernité.
3. L'idée de progrès
Considéré comme outil principal d'orientation dans la complexité du monde, le concept de progrès a accompagné les grands moments de l'histoire. Il traverse et bouscule les héritages et les traditions, entraînant une grande variété de processus d'évolution ainsi que des résistances face au changement. Relayé par un développement des technologies de pointe, une accélération des avancées scientifiques et techniques, le culte de la nouveauté et du progrès fait l'objet, ces dernières décennies, d'une prise de conscience accrue des conséquences possibles qui en résultent.
À partir de documents authentiques de toute nature, contemporains ou antérieurs, il convient de donner aux élèves des éléments de contextualisation qui leur permettent d'établir des relations pour mieux appréhender les enjeux relatifs à l'idée de progrès.
Cette notion permet notamment d'aborder :
Considéré comme outil principal d'orientation dans la complexité du monde, le concept de progrès a accompagné les grands moments de l'histoire. Il traverse et bouscule les héritages et les traditions, entraînant une grande variété de processus d'évolution ainsi que des résistances face au changement. Relayé par un développement des technologies de pointe, une accélération des avancées scientifiques et techniques, le culte de la nouveauté et du progrès fait l'objet, ces dernières décennies, d'une prise de conscience accrue des conséquences possibles qui en résultent.
À partir de documents authentiques de toute nature, contemporains ou antérieurs, il convient de donner aux élèves des éléments de contextualisation qui leur permettent d'établir des relations pour mieux appréhender les enjeux relatifs à l'idée de progrès.
Cette notion permet notamment d'aborder :
- les effets du progrès sur le fonctionnement des sociétés (nouvelles libertés, nouvelles contraintes et nouvelles aliénations) ;
- l'impact sur les codes de la communication (évolution des langues et langages) ;
- l'éthique du progrès et la responsabilité ;
- la vision diachronique des arts et des techniques ;
- la notion de modernité et d'avant-garde dans les arts ;
- l'illusion du progrès, les utopies.
4. Lieux et formes du pouvoir
Le pouvoir est à la fois source de l'intégration politique, sociale et personnelle et révélateur des tensions et des conflits au sein du groupe. Le pouvoir s'exerce à travers un ensemble de relations complexes subies ou acceptées, souvent intériorisées. Le pouvoir implique aussi des contre-pouvoirs : comment limite-t-on le pouvoir, comment lui résiste-t-on ? Cette notion peut être abordée à titre d'exemple sous les angles suivants :
Le pouvoir est à la fois source de l'intégration politique, sociale et personnelle et révélateur des tensions et des conflits au sein du groupe. Le pouvoir s'exerce à travers un ensemble de relations complexes subies ou acceptées, souvent intériorisées. Le pouvoir implique aussi des contre-pouvoirs : comment limite-t-on le pouvoir, comment lui résiste-t-on ? Cette notion peut être abordée à titre d'exemple sous les angles suivants :
- lieux institutionnels emblématiques du pouvoir (Cour, château, parlement, prison, tribunal, capitales, etc.) ;
- pouvoir des médias (la presse, « quatrième pouvoir », l'opinion publique, etc.) ;
- goût du pouvoir et résistance au pouvoir (les personnalités qui font l'histoire, les grandes figures, la désobéissance civile, la guerre et le pacifisme) ;
- pouvoir et conquêtes (luttes pour l'égalité et la liberté, conquêtes et reculs ; la question de la parité ; le droit de vote) ;
- arts et pouvoir (sa représentation, sa mise en scène ; la soumission : louanges, art officiel ; la dénonciation : satire, fable, caricature) ;
- langue et pouvoir.
L'organisation de l'épreuve écrite
1.
Durée
Série L (LV1 et LV2), séries S et ES (LV1) :
- Durée de l'épreuve : 3 h.
- Première lecture : 10 min.
- Temps pour la partie « Compréhension écrite » (10 pts ) : 1 h 15 min env.
- Temps pour la partie « Expression écrite » (10 pts ) : 1 h 15 min env.
Séries S et ES (LV2), séries technologiques (LV1 et LV2) :
- Durée de l'épreuve : 2 h.
- Première lecture : 10 min.
- Temps pour la partie « Compréhension écrite » (10 pts) : 45 min env.
- Temps pour la partie « Expression écrite » (10 pts) : 45 min env.
Donnez-vous un peu plus de temps pour travailler davantage la partie où vous vous sentez plus faible. Laissez-vous un quart d'heure pour relire tout votre devoir.
2.
Les exercices
L'épreuve comprend deux sous-parties :
- la compréhension de l'écrit, notée sur 10 points ;
- l'expression écrite, notée sur 10 points.
La compréhension de l'écrit prend appui sur un, deux ou trois documents en anglais qui renvoient à des notions du programme. Certains documents peuvent comporter des éléments iconographiques.
L'expression écrite est évaluée à partir d'une ou plusieurs tâches. Vous devrez rédiger un ou plusieurs textes construits, en lien avec les documents servant de support à l'épreuve de compréhension écrite.
Pour l'épreuve de LV1, il peut être proposé un nouveau document « tremplin » en relation thématique avec les documents-supports de la compréhension écrite. Ce document vous servira à contextualiser et à nourrir votre expression écrite.
3.
La gestion du temps
Selon les séries, vous disposez de 2 ou 3 heures. Ce temps est nécessaire au traitement de l'épreuve : utilisez-le complètement et ne vous débarrassez pas du travail.
Achever l'épreuve dans la précipitation est le meilleur moyen d'oublier des points importants.
Achever l'épreuve dans la précipitation est le meilleur moyen d'oublier des points importants.
Pour les LV1 des séries L, ES, S et les LV2 de la série L (durée de l'épreuve : 3 heures), on peut considérer qu'il est nécessaire de consacrer au moins 15 minutes à la lecture du sujet et environ 1 h 15 à la première partie de l'épreuve (questions de compréhension). La rédaction de la partie expression écrite doit durer 1 h 15.
Le temps restant (soit 15 minutes) est utilisé à la relecture de l'ensemble du travail.
Le temps restant (soit 15 minutes) est utilisé à la relecture de l'ensemble du travail.
Pour les autres séries (durée de l'épreuve : 2 heures), vous pouvez consacrer 15 minutes à la lecture du sujet, 40 minutes à répondre aux questions de compréhension et 50 minutes à l'expression écrite.
Le temps restant (soit 15 minutes) est utilisé à la relecture de l'ensemble du travail.
Le temps restant (soit 15 minutes) est utilisé à la relecture de l'ensemble du travail.
Ces indications restent des conseils. Selon vos capacités ou les difficultés que vous rencontrerez sur telle ou telle partie de l'épreuve, vous devez bien entendu adapter le temps disponible à vos besoins.
10 conseils pour bien se préparer
La clé du succès à l'examen, c'est avant tout une bonne organisation. Pour bien rentabiliser les révisions (surtout dans les semaines qui précèdent les épreuves), il faut commencer par se mettre les dates en tête. Construisez votre planning en tenant compte de vos forces et faiblesses et de votre capacité de concentration. Organisez vos semaines de révisions en fonction du temps dont vous disposez réellement et mettez-vous au travail sans tarder, dès le début de l'année.
1. Commencez le plus tôt possible : au fil de l'année, posez les grandes dates (examens blancs, devoirs et contrôles) ; puis dans les dernières semaines, organisez des révisions quotidiennes.
2. Écrivez plutôt au crayon pour pouvoir modifier par la suite votre planning et ajuster votre travail au cours du temps, si nécessaire.
3. Inscrivez bien les dates de vos épreuves.
4. Matière par matière, faites la liste de tous les thèmes que vous devez revoir : attribuez un code ou une abréviation à chacun (suffisamment explicite pour vous le rappeler par la suite !).
5. Reportez dans votre planning chacun de ces codes, en veillant à ne faire aucune impasse ! À chacun ensuite sa façon de travailler : certains préféreront réviser un peu de tout chaque semaine, d'autres pencheront pour des révisions en bloc, matière par matière. Dans tous les cas, il faut faire attention à ne pas trop se disperser (rien ne sert de revoir plusieurs matières différentes en une journée) et à ne pas prendre un retard inconsidéré sur une matière, pour quelque raison que ce soit (y compris si c'est la dernière en date que vous passez).
6. Mettez l'accent sur vos points faibles, renforcez les révisions des matières ou des thèmes qui vous posent problème.
7. Fixez-vous des objectifs réalistes ! Rien de plus décourageant, en effet, qu'un planning volontariste dont vous savez déjà qu'il ne sera pas tenu.
8. Ménagez-vous des temps de repos. Faites des pauses. Prévoyez des jours entièrement consacrés à la détente.
9. Planifiez vos révisions de manière à avoir tout passé en revue une semaine au moins avant le début des épreuves : le travail de dernière minute ne sert à rien ! Mieux vaut consacrer les quelques jours précédant le jour J à vous reposer ou à revoir de façon plus détendue quelques points, pour simplement vous rafraîchir la mémoire.
10. Affichez le planning de chaque mois au-dessus de votre bureau, pour ne pas le perdre de vue !
Le jour de l'épreuve
1.
La lecture du sujet
Commencez par lire le ou les textes, sans précipitation, ainsi que tout le travail qui va vous être demandé.
Pensez à identifier le thème principal, la situation et les personnages. Soulignez dans le texte les expressions qui vous aident à les repérer.
Ne cherchez pas à vouloir tout comprendre dans les moindres détails tout de suite. Prenez le temps de relire le texte et ne vous bloquez pas sur un mot inconnu, celui-ci n'a peut-être pas d'importance et ne vous empêchera pas de comprendre ce qui est nécessaire, ou bien, au cours de votre travail, vous trouverez son sens lorsque vous répondrez à telle ou telle question.
Pensez également à utiliser le contexte, la place du mot dans la phrase et sa formation (dérivation ou mot racine, mot de la même famille) pour trouver, si besoin est, son sens.
2.
La compréhension du (ou des) texte(s)
Avant de vous lancer dans la rédaction des questions, lisez-les toutes plusieurs fois pour mieux appréhender dans quel sens on va vous demander d'analyser le ou les texte(s). Pensez que les questions sont posées dans un ordre qui va de l'explicite vers l'implicite et qu'il n'est pas rare que certaines questions apportent une aide à une ou plusieurs questions qui la précèdent voire même permettent d'élucider certaines de ces questions.
Dans cette partie, on ne vous demande pas une analyse du texte ou un avis personnel. Vous devez répondre brièvement et précisément aux questions posées.
Lorsque vous répondez à une question, assurez-vous que vous avez bien lu et compris ce que l'on vous demande. Ne vous livrez pas à une interprétation personnelle de la question à cause d'une lecture trop rapide et superficielle.
Lorsque vous répondez à une question, assurez-vous que vous avez bien lu et compris ce que l'on vous demande. Ne vous livrez pas à une interprétation personnelle de la question à cause d'une lecture trop rapide et superficielle.
Ne cherchez pas à vouloir tout comprendre dans les moindres détails tout de suite. Prenez le temps de relire le texte et ne vous bloquez pas sur un mot inconnu, celui-ci n'a peut-être pas d'importance et ne vous empêchera pas de comprendre ce qui est nécessaire, ou bien, au cours de votre travail, vous trouverez son sens lorsque vous répondrez à telle ou telle question.
Les questions, en général, suivent l'ordre du ou des texte(s). Elles sont formulées en anglais.
On vous demande de vous exprimer de manière compréhensible. N'hésitez pas à utiliser un brouillon pour noter et organiser vos idées. Évitez d'écrire au fil de la plume : c'est la pire des méthodes, elle ne vous permettra pas d'arriver à une réponse correcte et structurée.
Après chaque réponse, prenez le temps de vous relire pour vérifier la qualité de ce que vous avez écrit (langue correcte et claire).
Après chaque réponse, prenez le temps de vous relire pour vérifier la qualité de ce que vous avez écrit (langue correcte et claire).
Si une question vous pose problème, ne restez pas bloqué. Sachez gérer votre temps et passez à la question suivante. Vous y reviendrez plus tard pour y répondre. Il n'est pas impossible que les réponses à venir éclairent celle sur laquelle vous butiez.
Si l'on vous demande de justifier votre réponse à l'aide du texte, pensez qu'il s'agit souvent de relever quelques mots, parfois une phrase entière et en aucun cas plusieurs phrases, voire un paragraphe. Ne retenez donc que les éléments pertinents et pensez à indiquer le (ou les) numéro(s) de ligne(s) où figure la citation.
3.
L'expression écrite
Le brouillon est indispensable pour organiser son travail. Lisez bien le sujet et respectez la forme que doit prendre votre production selon que vous aurez à rédiger un essai, une lettre, un dialogue, une page de journal intime, une suite de texte (LV1 et LV2), une argumentation personnelle (en LV1 seulement), etc. Attention, il est possible que l'on vous demande de rédiger plusieurs textes, de formes différentes.
Pensez aussi que vous devrez adapter le style en fonction de l'exercice demandé et de sa spécificité.
En ce qui concerne l'argumentation, réservée aux LV1 (niveau B2), elle peut prendre appui sur le ou les textes de compréhension écrite mais aussi sur un nouveau document traitant du même thème, qui devrait enrichir votre réflexion et vous apporter une aide lexicale sur ce sujet.
Chaque texte doit être structuré (logique, cohérent) et rédigé dans une langue correcte et de qualité (richesse du vocabulaire, des expressions ; respect des structures ; articulation des différentes parties, etc.). Pensez à utiliser des tournures idiomatiques, des mots de liaison : en d'autres termes, tout ce qui vous permettra de vous exprimer dans un anglais recherché.
Pensez que l'on va évaluer vos compétences linguistiques, c'est-à-dire votre capacité à employer correctement les mécanismes de la langue anglaise.
Pensez que l'on va évaluer vos compétences linguistiques, c'est-à-dire votre capacité à employer correctement les mécanismes de la langue anglaise.
Ces rédactions prennent appui sur le ou les texte(s) que vous aurez lus : pensez qu'ils peuvent vous servir de « réservoir lexical » : sans faire de paraphrase, vous avez la possibilité de réemployer des mots et des expressions tirés du texte proposé.
N'oubliez pas non plus que l'on vous impose un certain nombre de mots ou de lignes (une ligne fait environ 10 mots). Pensez à indiquer, à la fin de chaque texte, le nombre de mots utilisés. Gardez à l'esprit que le non-respect de cette consigne est sanctionné et peut vous faire perdre des points.
Le non-respect du nombre de mots donne lieu à une pénalité, ce qui peut entraîner une baisse de la note finale.
4.
La relecture
C'est une étape absolument indispensable : il convient donc de lui consacrer tout le temps nécessaire.
Un certain nombre d'erreurs revient régulièrement.
En général, vous connaissez bien les fautes que vous avez l'habitude de faire : en vous relisant, soyez-y particulièrement attentif ; d'ici le jour de l'épreuve, dressez-en la liste pour les avoir bien à l'esprit et les éviter.
En général, vous connaissez bien les fautes que vous avez l'habitude de faire : en vous relisant, soyez-y particulièrement attentif ; d'ici le jour de l'épreuve, dressez-en la liste pour les avoir bien à l'esprit et les éviter.