Représentation schématique d'une immunoglobuline
Les anticorps, appelés également immunoglobulines, sont des protéines synthétisées par les lymphocytes B et les plasmocytes qui en dérivent. Il existe des anticorps membranaires, qui constituent les récepteurs immunitaires des lymphocytes B (environ 100 000 récepteurs par lymphocyte B), et des anticorps circulants, sécrétés par les plasmocytes, qui constituent des effecteurs de l'immunité acquise.
Les anticorps sont des molécules polyfonctionnelles comportant une partie constante et une partie variable. La partie constante comprend notamment le site de fixation à la membrane des récepteurs B et la région reconnue par les phagocytes lors de l'élimination des complexes immuns. La partie variable est responsable de la spécificité de l'anticorps et constitue le site de reconnaissance de l'antigène.
Chez l'espèce humaine, on estime à 10 puissance 17 le nombre d'antigènes élémentaires différents, susceptibles d'être reconnus par les anticorps alors qu'il n'existe que quelque 30 000 gènes. À un instant donné, on estime à 100 millions le nombre de types d'anticorps différents présents dans l'organisme. Le degré de diversité des lymphocytes T est du même ordre.
Les anticorps sont des molécules polyfonctionnelles comportant une partie constante et une partie variable. La partie constante comprend notamment le site de fixation à la membrane des récepteurs B et la région reconnue par les phagocytes lors de l'élimination des complexes immuns. La partie variable est responsable de la spécificité de l'anticorps et constitue le site de reconnaissance de l'antigène.
Chez l'espèce humaine, on estime à 10 puissance 17 le nombre d'antigènes élémentaires différents, susceptibles d'être reconnus par les anticorps alors qu'il n'existe que quelque 30 000 gènes. À un instant donné, on estime à 100 millions le nombre de types d'anticorps différents présents dans l'organisme. Le degré de diversité des lymphocytes T est du même ordre.
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