L'Acropole d'Athènes du temps de la Grèce antique (illustration)
Cité la plus riche et la plus puissante du monde grec au Ve siècle av. J.-C., Athènes est dominée par la colline sacrée de l'Acropole (« ville haute »), sur laquelle se dresse le Parthénon.
Commencée en 447 av J.-C. et achevée en 423 av J.-C., la construction de ce temple a été financée en partie par le trésor de la ligue de Délos. L'édifice est constitué, comme la plupart des temples grecs, de trois parties : un vestibule, une salle et la chambre de la déesse protectrice de la cité : Athéna Parthénos (la déesse vierge). Celle-ci est représentée par une statue chryséléphantine (en or et ivoire) sculptée par Phidias. Une frise à l'extérieur du temple représente la fête qui lui est consacrée tous les quatre ans, les Panathénées.
La beauté des édifices de l'Acropole est liée aux matériaux employés, notamment les marbres. L'Acropole n'est pas seulement un espace sacré, elle est un symbole de la grandeur et du rayonnement de la cité.
Commencée en 447 av J.-C. et achevée en 423 av J.-C., la construction de ce temple a été financée en partie par le trésor de la ligue de Délos. L'édifice est constitué, comme la plupart des temples grecs, de trois parties : un vestibule, une salle et la chambre de la déesse protectrice de la cité : Athéna Parthénos (la déesse vierge). Celle-ci est représentée par une statue chryséléphantine (en or et ivoire) sculptée par Phidias. Une frise à l'extérieur du temple représente la fête qui lui est consacrée tous les quatre ans, les Panathénées.
La beauté des édifices de l'Acropole est liée aux matériaux employés, notamment les marbres. L'Acropole n'est pas seulement un espace sacré, elle est un symbole de la grandeur et du rayonnement de la cité.
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