Manque de confiance : comprendre le cerveau pour l'affronter, Lisa Lai, mai 2019

Une accroche qui attire l'attention
« Qu'est-ce que t'es moche ! »
Avec cette accroche malicieuse, Lisa Lai, étudiante en neuroscience, met le doigt sur les phrases qui nous touchent lorsque l'estime de soi n'est pas assez élevée. Nous revenons à un sentiment que nous ressentons très souvent et qui paralyse ou empêche de réfléchir dans de nombreux cas : la peur.
Manque de confiance : comprendre le cerveau pour l'affronter, Lisa Lai, mai 2019 - illustration 1
Source : Shutterstock/© Antonio Guillem
Le cerveau et les remarques négatives
Selon la chercheuse, les émotions négatives ont beaucoup plus d'impact sur nous que les émotions positives.
Prenons l'exemple des réseaux sociaux. Si parmi une vingtaine de commentaires positifs à votre sujet vous trouvez un seul commentaire négatif, eh bien, si la confiance en vous n'est pas absolue, vous focaliserez forcément votre attention sur celui-ci et oublierez tous les autres.
Une mauvaise réponse ne signifie pas un oral raté
Dans le cadre d'un oral, si l'on vous pose une dizaine de questions et qu'il y en a une seule à laquelle vous ne pouvez pas répondre, vous allez vous focaliser sur ce manquement alors que c'est l'ensemble de la prestation qui sera jugé et non l'absence de réponse à une question.
Manque de confiance : comprendre le cerveau pour l'affronter, Lisa Lai, mai 2019 - illustration 2
Source : Shutterstock/© Krakenimages.com
Penser au positif
Penser aux éléments positifs est un outil important pour travailler sa confiance en soi. Même si l'envie nous prend de dire qu'on est nul, que ce n'est plus la peine de continuer, il faut apprendre à relativiser, à se ressaisir et voir les difficultés comme des étapes pour gravir des marches.
Manque de confiance : comprendre le cerveau pour l'affronter, Lisa Lai, mai 2019 - illustration 3
Source : Shutterstock/© Alena Zharava

Annexes

© 2000-2024, rue des écoles