- je le déchiffre en retrouvant les sons qui le composent ;
- je trouve son sens en relisant bien le texte qui l'entoure.
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Exercice n°1
À quel mot correspond la définition ?
Lieu boisé où les lapins vivent à l'état sauvage :
Cochez la bonne réponse.
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La phrase « Des campagnols et des lapins de garenne ont établi leur demeure dans les hautes herbes » permet de comprendre le sens du nom garenne : c'est l'habitat naturel (la « demeure ») des lapins.
Exercice n°2
À quel mot correspond la définition ?
Petit fruit sauvage :
Cochez la bonne réponse.
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Exercice n°3
À quel mot correspond la définition ?
Qui parle ou chante beaucoup :
Cochez la bonne réponse.
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Dans le texte, l'adjectif babillard est employé pour désigner le chant des oiseaux : « des passereaux chanteurs, des troupiales babillards et des oiseaux-chats ».
Exercice n°4
À quel mot correspond la définition ?
Couvert d'arbustes et de ronces :
Cochez la bonne réponse.
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La phrase « Des bardanes et des ronces ont poussé au milieu des herbes folles, rendant le sol humide et broussailleux » permet de comprendre le sens de l'adjectif broussailleux.
Exercice n°5
À quel mot correspond la définition ?
Petit rongeur à queue courte et poilue :
Cochez la bonne réponse.
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Exercice n°6
Lis le texte Naissance d'une forêt et associe chaque groupe de mots à la catégorie correspondante.
Faites glisser les étiquettes dans les zones prévues à cet effet.
arbre
oiseau
mammifère
plante
imcAnswer11?
des bardanes
imcAnswer12?
un cèdre
imcAnswer13?
des faucons
imcAnswer14?
des taupes
• La phrase « Des bardanes et des ronces ont poussé […] » montre que les bardanes sont des plantes.
• Les phrases « Un arbre est sorti de terre. Ce n'était ni un cèdre […] » montrent que le cèdre est un arbre.
• La phrase « Des marmottes d'Amérique, des taupes et des musaraignes ont creusé leurs tunnels sous terre » montre que les taupes sont des animaux et donc des mammifères.
• La phrase « Des faucons et des chouettes y ont chassé leur proies » montre que les faucons sont des animaux ; et l'association avec les chouettes montre que ce sont des oiseaux.
Exercice n°7
Lis le texte Naissance d'une forêt et associe chaque groupe de mots à la catégorie correspondante.
Faites glisser les étiquettes dans les zones prévues à cet effet.
mammifère
arbre
oiseau
herbe ou fleur
imcAnswer15?
une verge d'or
imcAnswer16?
un bouleau
imcAnswer17?
un passereau
imcAnswer18?
un campagnol
• La phrase « le champ s'est couvert d'herbes folles : de pissenlits, de verges d'or […] » montre que la verge d'or est une herbe.
• La phrase « des oiseaux sont venus les manger : des passereaux chanteurs […] » permet de comprendre que le passereau est un oiseau.
• La phrase « un arbre est sorti de terre. Ce n'était ni un cèdre ni un bouleau […] » montre que le bouleau est un arbre.
• Par déduction, on comprend que le campagnol, comme le lapin, est un mammifère : « Des campagnols et des lapins de garenne ont établi leur demeure […] ».
Exercice n°8
Lis le texte Naissance d'une forêt et associe chaque groupe de mots à la catégorie correspondante.
Faites glisser les étiquettes dans les zones prévues à cet effet.
herbe ou fleur
mammifère
oiseau
arbre
imcAnswer19?
du mouron
imcAnswer20?
un peuplier
imcAnswer21?
un troupiale
imcAnswer22?
une marmotte
• La phrase « des oiseaux sont venus les manger : des passereaux chanteurs, des troupiales babillards […] » permet de comprendre que le passereau est un oiseau.
• La phrase « un arbre est sorti de terre. Ce n'était ni un cèdre ni un bouleau, ni un peuplier […] » montre que le peuplier est un arbre.
• La phrase « le champ s'est couvert d'herbes folles : de pissenlits, de verges d'or et de mouron des oiseaux […] » permet de comprendre que le mouron est une herbe.
• Par déduction, on comprend que la marmotte, comme la taupe, est un mammifère : « Des marmottes d'Amérique, des taupes et des musaraignes […] ».
Exercice n°9
Lis le texte Naissance d'une forêt et associe chaque groupe de mots à la catégorie correspondante.
Faites glisser les étiquettes dans les zones prévues à cet effet.
herbe ou fleur
oiseau
mammifère
arbre
imcAnswer23?
une suzanne
imcAnswer24?
un tremble
imcAnswer25?
un oiseau-chat
imcAnswer26?
une musaraigne
• La phrase « En quelques années, le champ s'est couvert d'herbes folles : […] de suzannes aux yeux noirs » montre que la suzanne est une fleur sauvage.
• La phrase « un arbre est sorti de terre. Ce n'était ni un cèdre ni un bouleau, ni un peuplier ni un tremble » permet de comprendre que le tremble est un arbre.
Naissance d'une forêt
« Naissance d'une forêt
En quelques années, le champ s'est couvert d'herbes folles : de pissenlits, de verges d'or et de mouron des oiseaux. De coton sauvage aux flocons ouateux. D'herbes de Saint-Jacques et de suzannes aux yeux noirs. À chaque printemps, de nouvelles plantes prenaient racine. Le terrain a fini par ne plus du tout ressembler à ce qu'il était. Des bardanes et des ronces ont poussé au milieu des herbes folles, rendant le sol humide et broussailleux.
Des mûres sauvages ont poussé. Attirés par ces baies, des oiseaux sont venus les manger : des passereaux chanteurs, des troupiales babillards et des oiseaux-chats. Des campagnols et des lapins de garenne ont établi leur demeure dans les hautes herbes. Des marmottes d'Amérique, des taupes et des musaraignes ont creusé leurs tunnels sous terre. Des serpents sont venus se nourrir de ces petits animaux. Des faucons et des chouettes y ont chassé leurs proies.
Le temps a passé.
Puis, un bel été, cinq ans après le départ des fermiers, un arbre est sorti de terre. Ce n'était ni un cèdre ni un bouleau, ni un peuplier ni un tremble, bien que ces espèces se plaisent au soleil. Non, c'était un jeune sapin blanc, encore un arbre qui aime la lumière. »
En quelques années, le champ s'est couvert d'herbes folles : de pissenlits, de verges d'or et de mouron des oiseaux. De coton sauvage aux flocons ouateux. D'herbes de Saint-Jacques et de suzannes aux yeux noirs. À chaque printemps, de nouvelles plantes prenaient racine. Le terrain a fini par ne plus du tout ressembler à ce qu'il était. Des bardanes et des ronces ont poussé au milieu des herbes folles, rendant le sol humide et broussailleux.
Des mûres sauvages ont poussé. Attirés par ces baies, des oiseaux sont venus les manger : des passereaux chanteurs, des troupiales babillards et des oiseaux-chats. Des campagnols et des lapins de garenne ont établi leur demeure dans les hautes herbes. Des marmottes d'Amérique, des taupes et des musaraignes ont creusé leurs tunnels sous terre. Des serpents sont venus se nourrir de ces petits animaux. Des faucons et des chouettes y ont chassé leurs proies.
Le temps a passé.
Puis, un bel été, cinq ans après le départ des fermiers, un arbre est sorti de terre. Ce n'était ni un cèdre ni un bouleau, ni un peuplier ni un tremble, bien que ces espèces se plaisent au soleil. Non, c'était un jeune sapin blanc, encore un arbre qui aime la lumière. »
William JASPERSOHN, coll. « Aux couleurs du monde », Circonflexe, 1992
