L'écriture d'un logigramme
I. L'écriture d'un logigramme en domotique
• Chaque automate (organe domotique) d'un bâtiment doit exécuter des actions en fonction de capteurs ou d'ordres envoyés par l'utilisateur. La domotique regroupe tous les domaines d'un habitat qui peuvent être programmés et automatisés, comme l'ouverture et la fermeture des volets, le chauffage, les portes et portails, la sécurité (alarmes incendie, gaz, intrusion…).
• Pour programmer ces automates, il faut réaliser un logigramme qui permet de créer l'algorithme envoyé à la carte programmable ou à la centrale de commande (ordinateur).
Par exemple, des volets de fenêtres s'ouvriront lorsqu'il fait jour et se fermer lorsqu'il fait nuit, et si l'utilisateur appuie sur la télécommande, ils s'ouvriront (bouton 1) ou se fermeront (bouton 2). Voici le logigramme qui pourrait être créé pour programmer les volets des fenêtres.
Par exemple, des volets de fenêtres s'ouvriront lorsqu'il fait jour et se fermer lorsqu'il fait nuit, et si l'utilisateur appuie sur la télécommande, ils s'ouvriront (bouton 1) ou se fermeront (bouton 2). Voici le logigramme qui pourrait être créé pour programmer les volets des fenêtres.
II. Les algorithmes de base
• Les fonctions de base d'un algorithme sont « début/fin » (représentées par un ovale) « action » (représentées par un rectangle) et la « question » (représentée par un losange), l'événement prenant deux valeurs possibles (oui/non, ouvert/fermé).
• Les fonctions ET et OU permettent de relier plusieurs « questions ». Dans le cas de la fonction ET, les deux valeurs d'entrée doivent être à 1 pour que la sortie soit 1, alors que dans celui de la fonction OU, l'une doit être à 1 et l'autre à 0 pour que la sortie soit 1.
III. L'algorithme par variable
• Pour le besoin de certains algorithmes, il faut utiliser des variables (sortes de boîtes). Il faut d'abord les déclarer : nom et contenu et les initialiser : valeur de départ (souvent 0), puis définir leur évolution (incrément de 1 à chaque passage). Ensuite, il faudra les réinitialiser pour recommencer leur évolution.
IV. Les sous-programmes
• L'utilisation de sous-programmes permet une meilleure lisibilité lors d'une succession d'actions identiques. Ce sont des algorithmes (programmes) dans l'algorithme principal. L'utilisation de sous-programmes peut aussi servir dans le cas de travail coopératif. À la place d'une « action », il faut mettre un « appel sous-programme ».
En cas de présence ou non d'un utilisateur, le sous-programme « ouverture » ou le sous-programme « fermeture » est appelé.
• Une autre fonction peut aussi appeler un sous-programme. Par exemple, un capteur de CO2 peut appeler le sous-programme « ouverture porte ».
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