Corneille, Le Menteur : dissertation


Énoncé

Dans le chapitre qu'il consacre à Corneille dans son essai L'œil vivant (1961), le critique Jean Starobinski (1920-2019) écrit : « […] l'illusion n'est pas une fatale puissance d'erreur insinuée dans l'esprit humain, mais l'effet d'une activité délibérée : une fiction réussie, un jeu plus ou moins désintéressé, qui fait concurrence à la réalité. Plutôt qu'il ne déplore l'impuissance de l'âme abusée, Corneille met joyeusement l'accent sur le pouvoir des illusionnistes […] ». Ces remarques s'accordent-elles avec votre lecture du Menteur ?

Annexes

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